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  • Journal ouvert avec stylo, symboles d’émotion pastel autour
  • Journal émotionnel


    Journal émotionnel

    Il y a des soirs comme ça, où l’on s’assoit sur le bord du lit, encore habillé, les épaules lourdes, le cœur un peu serré. On regarde le plafond sans vraiment le voir, et on se dit : « Je ne sais même pas ce que je ressens. » Trop de choses accumulées, pas assez de temps pour les digérer. Une contrariété au travail, une parole qui a blessé, une inquiétude qui traîne depuis des jours. Et au milieu de tout ça, cette impression étrange d’être à la fois plein et vide. C’est dans ces moments-là que le journal émotionnel peut devenir un véritable souffle.

    Journal ouvert avec stylo, symboles d’émotion pastel autour

    Qu’est-ce qu’un journal émotionnel ?

    Un journal émotionnel, c’est un espace intime, un carnet ou un fichier numérique, dans lequel on vient déposer ce qui nous traverse. Ce n’est pas un journal de bord où l’on raconte sa journée heure par heure. Ce n’est pas non plus un exercice littéraire. C’est un lieu de vérité, de douceur, où l’on peut écrire sans filtre, sans peur d’être jugé. On y note ses émotions, ses pensées, ses ressentis, ses doutes, ses colères, ses joies aussi. C’est une pratique simple, mais puissante, qui permet de se reconnecter à soi, de mieux comprendre ce qui se passe à l’intérieur.

    Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne s’agit pas de tout analyser ou de trouver des solutions à chaque problème. Il s’agit d’écouter. D’écouter ce que l’on ressent, même si c’est flou, même si c’est inconfortable. Et de le poser sur le papier, pour que cela prenne forme, pour que cela s’apaise.

    Pourquoi cela fait du bien ?

    Écrire dans un journal émotionnel, c’est comme ouvrir une fenêtre dans une pièce trop pleine. Cela permet à l’air de circuler, aux émotions de se libérer. Beaucoup de personnes témoignent du fait que cette pratique les aide à retrouver de la clarté, à alléger leur charge mentale, à mieux gérer leur stress.

    Quand on prend le temps d’écrire ce que l’on ressent, on se donne la permission d’exister pleinement. On ne cherche plus à fuir ou à refouler. On accueille. Et dans cet accueil, il y a déjà un début de guérison. Le journal devient un miroir bienveillant, un compagnon silencieux qui ne juge pas, qui ne coupe pas la parole, qui ne donne pas de leçons. Il est là, simplement, pour nous permettre d’être nous-mêmes.

    Avec le temps, cette pratique renforce la connaissance de soi. On repère plus facilement les schémas qui se répètent, les besoins qui reviennent, les émotions qui nous traversent. On devient plus attentif à ce qui nous fait du bien, à ce qui nous blesse, à ce qui nous nourrit. Et cela change profondément notre manière de vivre les choses.

    Des moments du quotidien où le journal émotionnel peut aider

    Il n’y a pas de bon ou de mauvais moment pour écrire. Mais certains instants du quotidien se prêtent particulièrement bien à cette pratique :

    • Le soir, après une journée dense, pour faire le tri dans ses pensées et retrouver un peu de calme avant de dormir.
    • Après une dispute ou une tension, pour exprimer ce que l’on n’a pas pu dire, comprendre ce qui s’est joué, et apaiser les émotions vives.
    • En période de doute, quand on ne sait plus trop où l’on en est, pour poser ses questions, ses peurs, ses espoirs.
    • Quand on se sent seul, incompris, ou simplement un peu triste, pour se réconforter, se parler avec tendresse.
    • Avant une décision importante, pour clarifier ses intentions, écouter ses ressentis, se reconnecter à ses valeurs profondes.

    Ces moments, nous les vivons tous. Et souvent, nous les traversons en silence. Le journal émotionnel offre une alternative : celle de ne pas rester seul avec ce que l’on ressent.

    Un outil simple pour commencer : “Mes 6 minutes”

    Si vous ne savez pas par où commencer, le journal de gratitude “Mes 6 minutes” peut être une excellente porte d’entrée. Conçu pour être utilisé en quelques minutes par jour, il propose une structure douce et accessible, qui invite à la réflexion, à l’introspection et à la gratitude.

    Ce journal peut aussi être utilisé comme un journal d’introspection, en y ajoutant des notes plus personnelles selon les besoins du moment. Il ne s’agit pas de remplir toutes les pages à la perfection, mais de créer un espace à soi, où l’on peut revenir quand on en ressent le besoin.

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    Pour ceux qui préfèrent une version numérique, le format digital de “Mes 6 minutes” permet d’écrire depuis son téléphone ou son ordinateur, à tout moment de la journée.

    Conseils pratiques pour se lancer sans pression

    Commencer un journal émotionnel ne demande pas de talent particulier. Voici quelques conseils pour vous aider à franchir le pas en douceur :

    • Choisissez un moment calme, même court. Le matin au réveil, le soir avant de dormir, ou pendant une pause dans la journée.
    • Utilisez un support qui vous plaît : un beau carnet, un cahier simple, ou une application si vous êtes plus à l’aise avec le numérique.
    • Écrivez sans vous censurer. Ne vous souciez pas de la grammaire, de l’orthographe ou de la logique. Ce n’est pas un devoir, c’est un espace de liberté.
    • Commencez par une phrase simple : “Aujourd’hui, je ressens…”, “Ce qui m’a touché, c’est…”, “J’ai besoin de…”.
    • Accueillez ce qui vient, même si c’est confus, même si c’est douloureux. L’écriture permet souvent de mettre de l’ordre dans le chaos intérieur.
    • Et si vous le souhaitez, terminez par une note de gratitude. Même minuscule. Un sourire échangé, un rayon de soleil, une tasse de thé réconfortante.

    Vous pouvez aussi vous inspirer de cet article sur l’écriture d’un journal, qui propose des pistes concrètes pour nourrir votre pratique.

    Réponses aux questions fréquentes

    Comment commencer si je n’ai jamais tenu de journal ?

    Commencez petit. Une phrase, un mot, une émotion. L’important, c’est d’oser ouvrir la porte. Vous verrez que les mots viendront plus facilement avec le temps.

    Que faire si je ne sais pas quoi écrire ?

    Notez simplement ce que vous ressentez à cet instant. Même si c’est “je ne sais pas quoi écrire”. C’est déjà un début. L’écriture se débloque souvent en avançant.

    Est-ce que je dois tout dire, même les pensées difficiles ?

    Vous n’êtes obligé de rien. Mais sachez que le journal est un lieu sûr. Vous pouvez y déposer vos peurs, vos colères, vos tristesses. Cela ne vous enferme pas, au contraire, cela vous libère.

    Comment rester régulier sans se sentir obligé ?

    Ne vous imposez pas une fréquence stricte. Écrivez quand vous en ressentez le besoin. La régularité viendra naturellement si la pratique vous fait du bien.

    Peut-on écrire sur des émotions négatives sans s’enfermer dedans ?

    Oui. Écrire permet de prendre du recul. Cela évite justement que les émotions restent bloquées. Et souvent, en les posant, on découvre qu’elles sont moins menaçantes qu’on ne le pensait.

    Faut-il relire ce qu’on a écrit ou laisser le journal fermé ?

    Les deux sont possibles. Certains aiment relire pour observer leur évolution. D’autres préfèrent ne jamais rouvrir les pages. Faites ce qui vous semble juste.

    Comment savoir si cette pratique me fait du bien ?

    Observez comment vous vous sentez après avoir écrit. Plus léger ? Plus clair ? Plus apaisé ? Ce sont souvent de bons indicateurs. Et si vous avez envie d’y revenir, c’est que quelque chose en vous y trouve du réconfort.

    Un geste de tendresse envers soi

    Tenir un journal émotionnel, ce n’est pas une obligation de plus dans une journée déjà bien remplie. C’est un rendez-vous avec soi-même. Un moment pour souffler, pour écouter, pour déposer. C’est une manière douce de prendre soin de son monde intérieur, de lui offrir un espace d’expression, de compréhension et de paix.

    Et si vous commenciez ce soir ? Juste quelques lignes. Juste pour voir. Juste pour vous.